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Ouistitis pygmée (Cebuella pygmaea)

Que dois-je manger?

Les ouistitis pygmées mangent principalement des invertébrés et des exsudats végétaux (sève, gomme, latex). Ils mangent parfois aussi de petits vertébrés tels que des lézards et des oiseaux. Les ouistitis pygmées ont des adaptations dentaires spéciales afin qu’ils puissent ronger les trous dans l’écorce de certains arbres et vignes pour stimuler la production de gomme.

Où dois-je vivre ?

On trouve ces animaux au Pérou, en Bolivie, au Brésil, en Équateur et en Colombie. On les trouve principalement dans les forêts riveraines. Les ouistitis pygmées voyagent généralement dans la végétation dense des couches inférieures de la forêt. Ils se nourrissent d’insectes et se nourrissent dans la couche intermédiaire de la forêt.

Reproduction

Les ouistitis pygmées donnent généralement naissance à des jumeaux. Il y aura une femelle reproductrice dans un groupe qui donne généralement naissance deux fois par an. Cette femme est dominante sur tous les membres du groupe. Les ouistitis pygmées nouveau-nés pèsent de 13 à 15 g et leur longueur de la tête au corps est de 51 à 63 mm. Les ouistitis pygmées sont des « éleveurs coopératifs », ce qui signifie que la plupart des membres du groupe aident à prendre soin des nourrissons, qui sont portés pendant les 1½ à 2 premiers mois de leur vie. En vieillissant, ils peuvent être laissés seuls pendant des périodes de plus en plus longues pendant que le groupe se nourrit. Les membres du groupe offriront de la nourriture aux nourrissons pendant qu’ils apprennent à attraper leurs propres proies. Les ouistitis pygmées peuvent se reproduire à partir d’environ 1 ½ ans.

Prédateurs

On pense que les capucins et les singes écureuils s’attaquent aux ouistitis pygmées, car les ouistitis lancent des appels d’alarme et s’enfuient s’ils les voient s’approcher. Parmi les autres prédateurs potentiels figurent les faucons et les faucons, les chats des forêts et les serpents.

Conservation

Les ouistitis pygmées sont communs et ont une aire de répartition assez large. Ils ne font actuellement face à aucune menace majeure, bien que dans certaines parties de leur aire de répartition, il y ait une perte d’habitat localisée qui peut être à l’origine de certains déclins.