Samuel Parris (abt. 1653 – 1720)
Ancêtres
Descendants
Contenu
- 1 Biographie
- 1.1 Enfants de Samuel Parris et Elizabeth Eldridge
- 1.2 Enfants de Samuel Parris et Dorothy Noyes
- 1.3 Procès de Sorcellerie de Salem
- 2 Sources
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Biographie
Samuel Parris est né en 1653 à Londres, en Angleterre, fils de Thomas.
En 1680, il épouse la 1ère Elizabeth Eldridge. En 1699, il épouse la 2e Dorothy Noyes.
Il a fréquenté le Harvard College, mais l’a quitté avant l’obtention de son diplôme pour gérer sa plantation familiale à la Barbade de 1673 à 1680. En 1683, alors à la Première Église de Boston, il devient homme libre de la colonie de la baie du Massachusetts. En 1689, il commença à prêcher au village de Salem et y fut ordonné le 15 novembre 1689.
En juin 1696, il est chassé par les villageois qui le tiennent pour responsable des procès des sorcières de 1692. Par la suite, il vécut à Stow, Watertown, Concord, Dunstable
Ses Sermons » Maudit soit celui qui fait trompeusement l’œuvre du Seigneur. » »Le Christ sait combien il y a de démons dans son église et qui ils sont. » »Pour notre mépris de Jésus-Christ, Dieu est en colère et envoie des destructeurs. » » ne pas se fier à la prétendue amitié des gens au cœur pourri du village «
Son ministère » Il est tout à fait évident que M. Parris employait son église, et les cabinets ministériels en général, comme moteurs pour opérer contre ses adversaires; et parfois plutôt sans scrupules… » – Charles Wentworth Upham, Sorcellerie de Salem, 1836.
Son impact » M. Parris, par ces pratiques et ces principes, a été le débutant et le pourvoyeur des afflictions les plus graves, non seulement pour ce village, mais pour tout ce pays, qui ne leur est jamais arrivé. » – Robert Calef, Plus de merveilles du Monde Invisible, 1700.
Il mourut le 27 février 1720 à Sudbury, dans la colonie de la baie du Massachusetts.
Enfants de Samuel Parris et Elizabeth Eldridge
Enfants de Samuel Parris et Dorothy Noyes
Procès de Sorcellerie de Salem
Ministre du village de Salem pendant les Procès des sorcières de Salem. Il a amené l’esclave Tituba de la Barbade à Salem, qui était un personnage clé des accusations de sorcellerie. La fille de Samuel, Elizabeth « Betty » Parris, et sa nièce Abigail Williams ont été les premières accusatrices.
John Clark RIdpath Résumé « La page la plus sombre de l’histoire de la Nouvelle-Angleterre est celle qui porte la trace de la sorcellerie de Salem… Parris croyait ou était affecté de croire que les deux filles étaient ensorcelées et que Tituba, une servante indienne de la maison, était l’auteur de l’affliction…Il ne fait aucun doute que tout le projet meurtrier a pris naissance dans la méchanceté personnelle de Parris….il y en avait d’autres prêts à l’aider. Le premier d’entre eux était le célèbre Cotton Mather, ministre de Boston. Il est réputé pour sa sagesse… Stoughton, le sous-gouverneur, qui fut nommé juge et présida aux procès des sorcières était l’outil de Parris et des deux mathers. À ces hommes, plus particulièrement à Parris et Mather, il faut imputer toute l’infamie de ce qui a suivi….Le 21 mars, l’horrible procédure a commencé…Les victimes ont été envoyées en prison pour protester contre leur innocence….George Burroughs, le rival de Parris, a été accusé et s’est précipité en prison…les condamnations suivirent rapidement ; la potence se tenait prête…La vérité de la prédication de Mather devait être établie par la pendaison de celui qui la niait et Parris devait sauver son pastorat en assassinant son rival. Lorsque le noble Burroughs monta sur l’échafaud, il se tint debout et répéta correctement la prière d’essai (La Prière du Seigneur) qu’il était dit qu’aucun sorcier ne pouvait prononcer. Les gens ont éclaté en sanglots et en gémissements, et auraient sauvé leur ami de la mort, mais le tyran Mather s’est précipité parmi eux à cheval, proférant des imprécations et a conduit le bourreau à son travail horrible….. »
Sources
Voir aussi:
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