Un orgasme vaginal plus fréquent est associé à une plus grande excitation due à une stimulation vaginale profonde
Introduction: La recherche a indiqué que: (i) l’orgasme vaginal (induit par des rapports sexuels pénico-vaginaux sans masturbation clitoridienne simultanée) consistance (consistance de l’orgasme vaginal ; le pourcentage d’occasions d’IVP entraînant un orgasme vaginal) est associé à une attention mentale aux sensations vaginales pendant l’IVP, à une préférence pour un pénis plus long et à des indices de fonctionnement psychologique et physiologique, et (ii) la stimulation clitoridienne, vaginale distale et vaginale / cervicale profonde se projette via différents nerfs périphériques vers différentes régions du cerveau.
Objectifs: Le but de cette étude est d’examiner l’association des COV avec: (i) l’excitation sexuelle perçue par une stimulation vaginale profonde (comparée à une stimulation vaginale moyenne et superficielle et à une stimulation clitoridienne), et (ii) la présence ou non d’une stimulation vaginale lors de la première masturbation de la femme.
Méthodes: Un échantillon de 75 femmes tchèques (âgées de 18 à 36 ans) a fourni des détails sur les COV récents, site de stimulation génitale lors de la première masturbation, et leur excitation sexuelle récente des quatre sites génitaux.
Principales mesures des résultats : L’association des COV avec: (i) l’excitation sexuelle perçue à partir des quatre sites génitaux et (ii) l’implication de la stimulation vaginale dans la première masturbation.
Résultats: Les COV étaient associés à une plus grande excitation sexuelle due à une stimulation vaginale profonde, mais pas à une excitation sexuelle provenant d’autres sites génitaux. La COV a également été associée à la première masturbation des femmes incorporant (ou étant exclusivement) une stimulation vaginale.
Conclusions: Les résultats suggèrent (i) que la stimulation du vagin pendant la masturbation au début de la vie pourrait indiquer que l’individu est prêt à développer une plus grande réactivité vaginale, conduisant à une augmentation des COV chez l’adulte, et (ii) que la sensibilité actuelle des régions vaginales et cervicales profondes est associée à des COV, ce qui pourrait être dû à une combinaison de différentes projections neurophysiologiques des régions profondes et à leur plus grande réactivité à la stimulation du pénis.